21 mai 2025 18h00 salle du Coulet
André ROSENBERG
Professeur de Lettres Honoraire,
Docteur en Histoire
Depuis l’époque romantique, l’imaginaire collectif associe volontiers l’an
mil à une ère de violences et de superstitions, avec son cortège de
guerres, de famines et d’épidémies.
Les mentalités médiévales auraient interprété ces fléaux du temps
comme autant de signes annonciateurs de la fin du monde.
Cette vision cauchemardesque n’a, en fait, qu’un très lointain rapport
avec la réalité.